j’ai lu votre trait de microphysique hier.
prcis, concis et efficace. je suis largu au niveau
mathmatique mais mes notions en chimie organique, chimie minrale et physique
relativiste mepermette de saisir l’a-propos
je me permet de saisir l’habit de votre personnage curieux
postulat 1 : tout change nergtique se fait a partir du
phnomne metteur-rcepteur rsonnance ondulatoire (postulat de
laveau)
postulat 2 : il existe un univers A’ de la taille de la longueur de
planck peupl d’un bestiaire de phnomnes nergtiques de
longueur d’ondes infrieure a la longueur de planck. bien sur cet univers
accouche d’un phnomne relativiste de vitesse C’
reprenons notre discussion, pour vous il existe une commutation entre des
artfact de longueur infrieure a la longueur de planck qui aboutit a une
nergie suprieure a la constante de planck.
pour moi ces artfacts font la longueur de planck.
plaons cette commutation dans l’univers A’.
cette commutation ne se comporterait-elle pas comme un trou noir ?
imaginons une transaction nergtique entre l’univers A’ et notre univers A
il faut un metteur dans l’univers A’ : je ne vois que l’univers A’ entier
il faut un rcepteur dans l’univers A : je ne vois que nos artfacts de la taille de la longueur de planck
phnomne de rsonance ondulatoire de laveau coup par la barrire de planck.
rsultante dans l’univers A’ : l’vaporation de hawking’
rsultante dans l’univers A : rayonnement synchrotron
pour en revenir a vos mtaphore de pche : il est pas frais mon
poisson ?