@jakem
 Encore un complément.
L’islam s’occupe essentiellement des corps pas de la quête spirituelle. Et le soufisme ,qui s’en occupe, est ultra minoritaire et pourchassé.
Cette idéologie ultra dogmatique régit la vie des assujettis de la naissance à la mort, en passant par la chambre et les toilettes, et le bureau et le tribunal, et la rue et la table...

Tout est conditionné , prescrit, obligatoire si on veut être / doit être un bon musulmans.

En Musulmanie des émissions de télé grand public donnent la parole aux auditeurs pour qu’ils posent des questions sur ce qui est licite et illicite ; des actes banals de la vie quotidienne, et des imams ou des oulémas répondent doctement. ( X )
Un musulman est prisonnier du dogme : 5 fois par jour ! un mois entier de jeûne ! sans boire en plein désert ! faut vraiment être archi taré !

Le Christianisme n’est pas aussi intrusif. Il l’était autrefois ; et il faut remonter loin.
Depuis longtemps l’accent est mis sur la spiritualité et l’altruisme.
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( X) Exemple de réponse d’un rabbin : un jour Schlomo laisse tomber une fois de plus sa tartine et voit, Stupéfait, qu’elle n’est pas tombée sur le schmaltz. Il n’en revient pas. Et se dit qu’il s’agit peut-être d’un miracle, que Yaveh l’a choisi pour une mission... Vite il court à la synagogue pour avoir l’avis du rabbin.
Celui-ci écoute attentivement le Schlomo, se fait expliquer ses gestes, ses pensées et la position exacte de la tartine tombée. Et lui dit : Schlaüme, Ay ! Ay Ay ! je dois réfléchir à tout ça... il ne faut pas de réponse précipitée. Reviens demain et je te dirai ...
Le lendemain Schlomo court chez le rabbi qui lui dit : Ecoute Schlomo, écoute moi bien ! j’ai réfléchi à ton histoire, et j’ai lu la Torah, et j’ai aussi prié. Et je peux te dire que ce n’est pas un miracle mais que ta tartine est tombée du mauvais côté.