@Ar zen
Madame Sauvage aurait dû partir ? Pour aller où ? AVEC QUEL ARGENT !? Jamais entendu parler de la crise du logement, peut-être ? Des années qu’il faut attendre pour obtenir un logement social ?
D’autre part, c’est madame Sauvage la victime, mais c’est elle qui doit partir ! Et l’agresseur reste tranquillement à la maison. Mais ce n’est pas madame Sauvage qui aurait dû partir, c’est son ordure de mari qui aurait dû être chassé du domicile conjugal !
Madame Sauvage a eu totalement raison d’agir comme elle l’a fait, elle en avait pleinement le droit ! Ce sont les services sociaux, en dessous de tout, qui doivent être durement sanctionnés. Tous les intervenants qui ont manqué à tous leurs devoirs doivent être traînés en justice et condamnés à, au minimum, 25 à 30 ans de réclusion criminelle, sans une seconde de remise de peine, enchaînés en permanence pour éviter l’évasion par le suicide, nourris de force et à l’isolement absolu. Le tout accompagné d’une circulaire générale à tous les services sociaux afin qu’ils soient prévenus de ce qui les attend en cas de récidive, de négligence ou de laxisme.
Tous les services sociaux doivent être disponibles instantanément, sur un simple coup de fil, 24 heures sur 24, 365 jours par an, et tenus, sous peine des sanctions énumérées ci-dessus, de réagir IMMÉDIATEMENT. Pas cinq minutes après, pas une minute après : à la seconde même ! À défaut, c’est direction la taule, pour trente ans ferme, sans procès, sans recours, sans appel, à la simple constatation de faits. Les services sociaux sont à notre disposition, à nos ordres, ils n’ont aucun droit à la parole mais doivent obéir sur-le-champ sans aucune discussion, sans un mot, à ceux qui les requièrent. Ils doivent disposer en permanence de fonds immédiatement accessibles, de logements exclusivement réservés aux victimes si elles ne peuvent ou ne veulent conserver leur domicile actuel, même si leur tortionnaire en a été chassé comme il se devrait, elles doivent pouvoir occuper les lieux dans les quinze minutes maximum après leur prise en charge, avec loyer limité à 5 % des revenus nets de la victime, loyer totalement et définitivement bloqué pour une durée illimitée, sans aucune contrepartie ni condition.
Ce que je viens de décrire porte un nom : justice. Pas l’institution vérolée que nous connaissons, celle que la « gauche » aurait mise en place dès son arrivée au pouvoir, en mai 1981, si elle n’était pas en fait une composante de l’extrême-droite, aux côtés du Front national.
Quand aux jurés populaires, je suis totalement contre. Quand on voit le niveau intellectuel et culturel du gros con de base, ce n’est certainement pas à lui de juger de quoi que ce soit. Mais j’aimerais bien être juré un jour : j’aurai vite fait de remettre les magistrats à leur place de bourgeois puants, et pour me manipuler, il leur faudra se lever de bonne heure, ils ne feront certainement pas le poids !