Les déclarations de Valls à propos de récents attentats contre des Juifs sont tout à fait parfaites, mais elles sont en contradiction flagrante avec une politique délibérément antisémite.
La « résolution » des socialistes, votée le 2 décembre 2014, était une trahison délibérée d’un peuple qui est le meilleur de nos alliés.
L’étoile jaune sur les produits de Judée-Samarie, il y a quelques mois, était une honte.
Recevoir le Führer en second de la république islamo-nazie d’Iran, et le jour même où l’ONU célébrait le 71ème anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, tout ça pour vendre des banoles et des avions, c’est une politique de gribouille immonde et c’est aussi répugnant que l’entrevue de Montoire le 24 octobre 1940 entre Pétain et le Chancelier du Reich.

Enfin, ces derniers jours, le Ministre des Affaires Etrangères trouvait bon de revenir à la « résolution du 2 décembre 2014 qu’on croyait enterrée tant elle était stupide. Herzog, chef de l’opposition israélienne venait pourtant de faire le déplacement pour expliquer à Hollande, poçur le cas où il ne l’aurait pas encore compris, qu’ll n’y avait aucun interlocuteur avec qui faire la paix. Haniyeh, de Gaza, vociférait naguère ses menace ordinaires : on était en train de reconstruire les tunnels, on essayait de nouveaux missiles, on allait relancer l’offensive. Le Hezbollah se dispose à faire usage d’une centaine de milliers de missiles capables de frapper n’importe où entre Haïfa et Eilat. Les groupes affidés à l’EI, dans le Sinaï, affutent leurs couteaux.

Les socialistes espèrent probablement, selon la théorie d’un certain Boniface déjà fort ancienne, complaire ainsi à l’électorat musulman.
En attendant, c’est une nouvelle shoah que rêvent l’Iran et son Hezbollah, le Hamas, l’EI, et même une Autorité palestinienne qui ne fait rien pour arrêter l’immonde »intifada des couteaux".

L’histoire se répète. Les politicards crapuleux du Quai d’Orsay espèrent probablement qu’ils pourront dire encore, comme la dernière fois : on ne savait pas ! Il serait grand temps que ce qui reste de Français lucides commence à se réveiller.