[...] Toute
discipline scientifique expérimentale se doit d’apporter des preuves
sinon irréfutables du moins vérifiables pour étayer des hypothèses de
travail. Si ces dernières ne sont pas vérifiables par des tiers, alors
ces hypothèses ne sont pas valables. Dans le cas de la climatologie
prospective au sens strict il est impossible d’apporter des preuves
tangibles permettant d’affirmer telle ou telle évolution du climat
futur. En conséquence et selon les critères fondamentaux de la
déontologie scientifique toutes les prédictions relatives au futur du
climat, ou au climat du futur, ne sont que des errements intellectuels
sans fondement. Seuls des modèles étayés par des observations passées et
étant validés par ces mêmes observations peuvent éventuellement aboutir
à quelques tendances mais prédire l’état futur du climat à un ou deux
degrés près relève de la plus pure spéculation. [...]
COP21. L’effet de serre : devrons-nous un jour payer une taxe pour avoir le droit de respirer ??? ...]
[... C’est comme mesurer au dixième de millimètre le niveau de la mer pour
anticiper des montées de plusieurs dizaines de mètres en sachant que les
marées, les vents, la température et la salinité de l’eau, les
variations topographiques, la pression atmosphérique provoquent des
variations du niveau des mers de l’ordre de quelques centimètres à
plusieurs mètres selon les régions et sur des échelles de temps allant
de quelques heures (marées, pression atmosphérique), à plusieurs années.
L’explication au délire des réchauffiste ; Mercredi, le Figaro écrivait :
"La contribution climat énergie, intégrée dans les taxes payées sur les
carburants, le gaz et le fioul, sera augmentée pour rapporter 6
milliards d’euros en 2017."
PS : Au train ou vont les choses, 2017 risque fort d’être célébrer que par les survivants du grand reset OTAN/Russie ...]