Les permaculteurs « amateurs » :
- Des intellos mais avec moins de temps : n’ayant pas papy, ni le temps
(ou les capacités) de lire les études scientifiques pour comprendre
comment un radis peut pousser, ils se refusent à faire un vulgaire
jardin (ils ont un niveau au-dessus vous comprenez) et appliquent les «
techniques » des permaculteurs « scientifisants » (plus glamour et fait
moins beauf).
- Des anti-systèmes : ce que j’appellerai plutôt des
gens qui, ayant leur œil rivé sur les sites à complot (ce n’est pas un
mal en soit), découvrent la permaculture et s’y engouffrent sans avoir
l’idée ou le recul préalable de demander à papy René.
Concrètement la permaculture dans la vie :
La permaculture (ou jardinage peu productif avec un bagage intello) :
- Ne peut pas rendre un homme indépendant (faim)
- Sinon il faut avoir environ 100 000 hectares avec des bras en plus
- Il faut passer sa journée dans son jardin
- Oubliez les aliments variés, vous en aurez maximum une trentaine différents (gentil) à manger dans votre vie.
Par extension, le permaculteur bricoleur vous fait croire que vous serez autonomes :
- Dîtes adieu à une consommation normale d’électricité : au revoir
internet, frigo, ampoule plus d’une heure par jour (sans tricher)
Grand final :
-
pour être autonome il faut que tout un village de 200 fermes/foyers
soient « permaculteurs » je vous laisse le soin de calculer la surface
de terrain disponible.
-
demander à votre grand-mère vous gagnerez 10 ans : bons gestes, vrai
savoir, vraies techniques qui ne se trouvent dans aucun
livre. Faux-derches vous en donnera des exemples bien précis.
Le jardinage ne s’apprend pas, il se transmet.
Si on pouvait résumer la permaculture