Commentaire de marmor
sur Conduite des hommes : I. Souffrance au travail
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Ce qui me serait salvateur, c’est que l’auteur, que j’imagine maître de conférences pour cadrillons encravatés à qui on s’adresse par circonvolutions verbiales, m’explique ce que signifie :
techniques managériales de mutation organisationnelle permanente,
l’injonction paradoxale à l’autonomie
sans avoir non plus suffisamment intégré le frein que constitue en parallèle la procéduralisation excessive du travail.
à l’instar des pratiques individualisantes, des modes de travail concurrentiels et des menaces de mise au placard
Les appellations aux allures excessives comme, qualité totale, zéro
défaut ou excellence qui ne font aucune place à la réserve, ignorent la
nuance et oublient les concessions afférentes à l’imperfection humaine
Mon Dieu, tant de phrases compliquées pour énoncer des choses simples !! C’est la novlangue, le jargon branchouille, au même titre que « le reférentiel rebondissant » pour dire ballon, ou « traverser l’eau en équilibre horizontal » pour dire nager !!!! Vous avez fait l’Ena, ou sciences po ??
Derniers commentaires
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05/02 19:32 - gogoRat
Allez juste ce passage pour la route : ’Bientôt une discipline s’impose à chacun : (...)
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05/02 18:27 - gogoRat
Un classique à relire de temps en temps : http://www.reseauxcitoyens-st-etienne.org/IMG/pdf/Souffran
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05/02 17:27 - marmor
Ce qui me serait salvateur, c’est que l’auteur, que j’imagine maître de (...)
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05/02 14:16 - christophe nicolas
Non, les réflexions sur les managers exploiteurs sont plus simples. Le patron dit « c’est (...)
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05/02 14:02 - Jason
Très bon. le taylorisme, qui n’avait jamais entièrement disparu, est de retour véhiculé (...)
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