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Commentaire de lloreen

sur Un général pis que mal ou les puputschs ont bien du mal à se généraliser


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lloreen 9 février 2016 10:22

(Je décrirai plus tard en détail les mécanismes mis en place par l’OPPT pour remplacer les fonctions de gouvernance). CCU : La bible du commerce Le C.C.U est la “bible” du commerce ; il décrit précisément la manière selon laquelle le commerce international est régi. En fait, l’ensemble du système commercial gravite autour du C.C.U. Si le prêt immobilier de votre logement est saisi, via une hypothèque, ou que vous êtes dépossédé de votre voiture, la banque utilise le mécanisme parallèle du C.C.U pour agir. Mais la législation du C.C.U. n’est pas enseignée dans les facultés de droit. Elle reste le domaine des grandes entreprises privées et de leurs dirigeants, qui forment leurs employés en contentieux du C.C.U. – gardant ainsi la connaissance de cet instrument « en interne ». Mais un des administrateurs d’OPPT a été amené professionnellement à utiliser la législation du C.C.U durant un certain temps, et comprend en profondeur comment les « pouvoirs du passé » manipulaient le C.C.U pour contrôler le système financier américain au plus haut niveau. Experte en C.C.U, mère et fondatrice de l’OPPT, Heather-Ann Tucci-Jarraf a utilisé la saisie de sa propre maison comme cas d’école. Elle a attaqué la procédure de saisie immobilière à travers le mécanisme C.C.U et, ce faisant, a découvert – pour employer des termes simples – que la justice américaine est toujours en faveur des multinationales. Ce qui n’est pas étonnant, vu que 99% des lois se rapportent à la propriété privée… ou au commerce. En avançant prudemment, l’OPPT arriva à la conclusion que les entreprises privées opérant sous le couvert des gouvernements souverains et des systèmes financiers se rendaient coupables de trahison envers les habitants de cette planète en l’absence de toute information connue, volonté et consentement express de leur part. Le rapport final de cette investigation se trouve ici . Et en l’espèce, … pour saisir le « système », les administrateurs du Trust OPPT ont tendu un piège en utilisant la structure légale qui leur était fournie PAR le « système » lui-même.Comment les administrateurs OPPT sont-ils arrivés à la saisie ? L’OPPT est géré par des administrateurs Caleb Skinner, Hollis Randall Hillner et Heather Ann Tucci-Jarraf. L’OPPT a été créé lorsque les administrateurs se sont associés – et ce faisant ont renoué – avec le Trust intégré dans les termes de la Constitution originale des Etats-Unis de 1776, laquelle constitution, fut abandonnée lorsque le gouvernement des Etats-Unis fut transformé en Multinationale Gouvernementale en 1933. L’OPPT a ensuite associé chaque individu de la planète à cette structure de Trust en tant que bénéficiaires de ses titres et propriétés, et l’a désigné « le Peuple Unique, Créé par le Créateur ». Ce faisant, les administrateurs créaient un Trust, dans le cadre légal qui a des droits supérieurs à quelconque partie – le Trust entre le Créateur et les « Êtres existants » de la Terre. Les « Êtres existants » sur Terre sont les bénéficiaires du Créateur en tant que garants des manifestations du Créateur sur Terre. Juridiquement parlant, il ne peut y avoir de proclamation supérieure à celle du One People’s Public Trust … exceptée celle émise par le Créateur lui-même. Les ressources de notre planète – spécifiées dans les actes du C.C.U. comme étant l’or et l’argent mondial – ne peuvent de ce fait être détenues, vendues contre rémunération, comptées sous forme de ‘salaire’ pour nous rendre esclaves, ou être épargnées afin de créer de la pauvreté ou déposséder. Sous l’OPPT, nous sommes tous actionnaires de titres. Les ressources de notre planète nous appartiennent dorénavant à chacun à parts égales. C’est notre droit de naissance. Maintenant c’est la loi.Entre 2011 et 2012, les administrateurs ont déposé une série d’investigations complexes au C.C.U. au nom de ses bénéficiaires. Les détails de ces investigations de l’OPPT au C.C.U. peuvent être consultés sur leur site : http://peoplesstrust1776.org/. Attention : c’est une lecture juridique dense destinée à un enregistrement et une divulgation légale officielle. Ce n’est pas destiné à la communication de poursuites de l’OPPT contre des tiers ou leurs conséquences sur le public. Cependant les administrateurs travaillent directement avec la collectivité de ‘médias alternatifs’ pour être sûrs que le public reçoive une information précise, claire et adéquate. Pour résumer ces documents :En l’espèce, les grandes entreprises multinationales, les gouvernements et les banques ne font qu’un, « Une Commission d’enquête et une instruction » ont été déposées à l’encontre « du débiteur », une entité juridique créée via le mécanisme C.C.U. régit par le Code d’Enregistrement des sociétés. Le dépôt de plainte stipule que le débiteur a « en toute connaissance de cause, volontairement et intentionnellement commis des actes de trahison  » en « possédant, faisant fonctionner, aidant et encourageant des systèmes monétaires privés » et « en faisant fonctionner des systèmes d’esclavage envers … des citoyens sans les informer, contre leur volonté et leur consentement ». Les dossiers de procédures de C.C.U. sont des données publiques, et suivent les mécanismes de procédures juridiques classiques. Si une entité légale fait l’objet d’une plainte, la personne morale (dans ce cas le «  débiteur ») a le droit de la contester. Si celle-ci n’est pas en mesure d’en apporter la preuve contradictoire ou, n’est pas reçue dans un délai imparti, il en résulte un jugement par défaut, suivi par l’application du verdict. La conséquence est, la cessation immédiate d’activité de cette entité légale, dans le cas présent, au motif qu’elle a été incapable d’apporter la preuve contraire des charges de trahison démontrées par l’OPPT. Le plus important ici, est que le jugement en culpabilité selon le C.C .U. a valeur légale immédiate s’il n’est pas démontré le contraire. Et dans ce cas, les administrateurs de l’OPPT se sont assurés qu’ils créaient une situation juridique dans laquelle les individus et toute entité légale dénommée le « débiteur » n’avaient aucune capacité de démontrer le contraire. Comment ont-ils réussi ? Toutes les charges déclarées d’esclavage et de fraudes sont vraies. Bien sûr, aucune preuve tangible de leur innocence n’a été démontrée.Le « débiteur » est de ce fait coupable de trahison.En dédommagement, les grandes entreprises sont saisies de leurs avoirs usurpés et confisqués,La richesse de notre planète est réaffectée au Trust l’OPPT. Toute dette des multinationales est effacée,Le « système » est définitivement clos. Les archives publiques le prouvent,Les dépôts et déclarations enregistrés au C.C.U. font office de Loi Internationale Selon les clauses même du système, celui-ci n’existe plus. Nous sommes libres !! Cliquer ici pour lire le communiqué de presse de l’OPPT du 4 février 2013."

Le communiqué a été censuré mais vous pouvez faire vos propres recherches à partir des éléments donnés.


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