@Phalanx
Dans la rhétorique officielle, chaque mot a son importance. Immigrer : partir d’un endroit pour un autre, bien précis. Ce qui donnera l’immigration.
Mais migrer, dans l’esprit de nos officiel si cela en apparence ne veut tout et rien dire à la fois, eux, savent très bien pourquoi l’emploi de ce terme.
Le promeneur « migre » à sa façon. D’où vient-il ? Où va-t-il ? Nul ne le sait ! Il se promène...
Le « migrant » migre. Mais d’où vient-il aussi ? De Syrie ? Rien ne le prouve... Sinon des papiers ? Faux ? Vrais ?
Qui finance ces « migrations » ? Qui est derrière ce projet ?
L’UE, dès les années quatre-vingt-dix annonçait que chaque pays européens devait accueillir pas moins de 25 millions d’immigrés ! La France a rempli son quota !
Mais entre l’immigration des populations des anciennes colonies françaises, qui est tout à fait légitime, et les « migrants » de pays qui n’ont rien à voir avec nos « anciennes colonies françaises » et qui viennent plutôt des pays déstabilisés par la guerre livrée par les « néos-cons », quel projet s’inscrit dans ces mouvements de foules massifs dans lesquels sont infiltrés des individus peu recommandables qui se sont illustrés dans les massacres commis en Syrie, en Irak, en Libye ?
Je suis très étonnée que l’on ne s’appesantisse pas plus sur ces questions-là.
Pourquoi des Tchéchènes dans ces foules-là ? Par exemple. Crèvent-ils de faim en Tchéchénie ?
De simples questions...