@MAIBORODA
J’aime bien la littérature, et autant Modiano, dont je me suis un peu servi ici, dans cet exercice de pastiche, sur fond de faits avérés, et d’autres un peu fantasmatiques, tel ce « monsieur Jean » conseiller de l’ombre, qui m’a servi de voix « off »...Mais évidemment je n’en ferais pas un impératif, la littérature n’a pas le monopole de la culture, et de plus je ne vois pas pourquoi un ministre devrait être incollable sur ce genre de chose : Ils n’ont pas fonction d’être des perroquets savants, ni des rats de bibliothèques, mais d’insuffler de l’énergie, de donner un sens à une politique...Bon je vais pas faire un discours de sous-préfet au champ à mon tour. Moi j’aimais bien Fleur Pellerin, malgré ses impairs, et peut être encore davantage à cause de cela. Je place la maîtrise à un autre niveau, et là, apparemment, elle avait le respect des gens avec qui elle travaillait, sur des dossiers qu’elle a fait avancer. C’est ce que j’ai découvert en écrivant ce billet, sans compter ce fait troublant : Ce vilain petit canard devenu cygne, a bien des points commun avec les héros de Modiano, comme leur auteur d’ailleurs, qui n’eut lui aussi pas une enfance facile, fait d’occultation, de sublimation, et de résilience....Les Madames sans gènes semblent être en ce moment le point commun à toutes les présidence, comme une pièce de théâtre, déclinant au fil des actes de nouvelles appartitions, de nouvelles prises de possession. ...Merci pour votre lien sur le blog dont je vais jeter un peu plus qu’un coup d’œil.