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Commentaire de gogoRat

sur La réforme du Code du Travail, permettez-moi d'en rire !


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gogoRat gogoRat 19 février 2016 13:57

Ai-je jamais cautionné, approuvé, acquiescé ou seulement consenti aux prétentions de ces ’ministres’ (serviteurs de qui et de quoi ?) désignés non démocratiquement par des gens que je n’ai jamais élus, et dont je ne connais ni ne peux deviner encore moins de choses que de ces prétendus ’représentants du peuple’ censés incarner quelques 66 millions d’âmes !
 
 
 Si celles et ceux qui ont veauté s’entendent dire qu’ils ont le devoir de respecter le ’contrat’ qu’ils ont signé par leur vote (y compris dans le cas de vote blanc ou nul) , ils l’ont bien cherché !
 
 Mais il ne me suffit pas d’éviter le piège d’être incité à désigner des ’moins pire’ .
 La situation en Syrie met en évidence l’autre piège qui nous pend au nez : toutes les factions embusquées pour pousser ’la masse’ à prendre les risques d’une tentative de renversement du Pouvoir, afin de caser leurs propres pions in extremis, légitimationnés par l’illusion d’une volonté populaire révolutionnaire .

 Il ne me suffit pas non plus de me fabriquer un confort moral ancré sur la crédulité voulue par celles et ceux qui voudraient nous piéger par un contrat de subordination appelé ’contrat de travail’.
 Signer un contrat de travail, comme dans le cas du veaute, c’est valider, cautionner, accepter tout la dispositif juridique, donc politique, matérialisé par les instituions activement complices de cette mascarade de démocratie ( Ne pas oublier que le contrat de travail est toujours indissociable, entre autres, des prud’hommes et de leur fonctionnement ...)

 Il ne me suffit pas non plus de me taire.
 Dont acte.
 
 J’essaye aussi de suggérer une mise en marche de cahiers de doléances à réinventer collectivement. 
 
 ... il doit bien être possible de trouver mille autres voies à explorer de concert ... à tenter avant qu’il ne soit trop tard.
 Certains, et pas des moindres, ont, de longue date, préconisé l’optique d’apprendre à savoir prendre le temps :
 ’ In praise of idleness’ de Bertrand Russel ( cf cette traduction plutôt mot à mot pour essayer d’éviter de trop trahir l’expression calculée de l’auteur )
 


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