@César Castique,
Ces élections présidentielles 2017, si elles se présentent sous la même configuration que celles de 2012, n’ont aucun intérêt : il ne s’agira que de choisir, pour la troisième fois notre préfet national, chargé d’appliquer les diktats de la commission européennes et ceux en ce qui concernent l’OTAN, de Washington. Mieux vaut s’abstenir. C’est le seul moyen qu’il nous reste de dire que l’on refuse ce système totalitaire.
Pour Mélenchon, imaginons qu’il soit élu : dans la configuration 2012 vu le contexte 2017 (PS et ex-UMP anéantis), c’est peut-être bien possible. Le voilà nommé préfet français de la commission européenne, que pourra-il faire, vu l’exemple grec ?
Seul vraie alternative à ce piège : voter pour un candidat dont le programme et avant tout une libération nationale : sortir de l’Europe, de l’Euro et de l’OTAN. Donc pour l’UPR.
Arriver dispersés au premier tour, c’est aller à l’échec.
Mélenchon, Cheminade, Dupont-Aignan, munis de leurs signatures, après avoir averti les maires concernés de cette stratégie, devraient se rallier à l’UPR, puisque le débat politique réel ne pourra avoir lieu que lorsque la France aura retrouvé son entière souveraineté.
Il s’agit là de réunir nos force pour libérer la France.