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Commentaire de christophe nicolas

sur Les migrants, la bienpensance, la religion et le capitalisme : Marx, reviens ! Ils sont devenus fous !


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christophe nicolas christophe nicolas 28 février 2016 22:14

@CN46400

Le but des esclavagistes sera toujours de vous soustraire à votre autonomie, il faut raisonner « autonomie », l’ennemi est un ensemble de factures incompressibles..

Le progrès vous apporte des solutions qui rendent financièrement dépendant et c’est le piège pourtant il existe des bonnes solutions qui vous rendraient beaucoup plus autonomes mais elles ne sont pas recherchées. Si vous devenez indépendant, vous aurez envie d’avoir de l’activité, ce n’est dont pas le travail qui vous pose un soucis mais le fait qu’on vous traite médiocrement, voir pire.

Nous sommes dirigés par des béhavioristes qui sont un peu simplet du ciboulot, il faut l’avouer. C’est la tendance matérialiste à la mode.

Le matérialisme des « gentils » est en général caractérisé par une dérive du vrai vers le bon ce qui va vers le béhaviorisme ou le comportementalisme qui est un pragmatisme qui prend ses origines chez des gens comme Jeremy Bentham :

La nature a placé l’humanité sous le gouvernement de deux maîtres souverains, la douleur et le plaisir. C’est à eux seuls qu’il appartient de signifier ce que nous devrions faire, comme de déterminer ce que nous ferons. (…) Ils nous dirigent dans tout ce que nous faisons, dans tout ce que nous disons, dans tout ce que nous pensons (…) Les divers systèmes qui tentent de mettre en question cette sujétion reposent sur du vent plutôt que sur du solide, sur des foucades plutôt que sur la raison, sur l’obscurité plutôt que sur la lumière.

Ces gens sont très en vogue à la Maison blanche, l’abus donne une variante du dressage et produit des politiques manipulatrices. L’honneur, le parlé honnête et vrai s’efface pour « sucette », « bâton ». Cette façon de voir est assez insultante et très fausse car la société n’existerait pas si cela était réel, nous serions tous des blondes mais nos dirigeants aiment à nous voir ainsi d’où une certaine révulsion qu’on appelle à tort « la lutte des classes ».

Contrairement à tout ce que vous pensez, toutes ces visions managériales ont vécu, leur sort est inévitablement scellé avec beaucoup d’autres conceptions, avant 2020.

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