@Fabienm
Hey, alors pour la fin ? <3 = trois petits mots comme une délivrance, un antidote à cette insoutenable introspection vagabonde du héros. S’il l’avait fait plus tôt cependant, il aurait privé le lecteur de cette gouaille remplie d’absurde (tellement souvent jouissive, pleine de tiroirs et d’aller retours, même si j’avoue que parfois les lancements de ces saillies ou les détours qu’il va chercher au début de ses journées au boulot m’ont quelque fois complétement perdu en chemin, c’est même le seul truc qui a fait que j’ai pas lu quasi d’un trait le roman), de cynisme (mais j’en attendais pas moins même si c’est l’avantage mais aussi le défaut de connaître un tant soit peu auparavant les inclinations de l’auteur).
Donc bien vu 
Il y aussi carrément une dose certaine de « sadisme machiste » et ça j’adore (
) comme cette impayable page 244 consacrée à la journée de la femme. Énorme, Jean Fab tu es un sadiste éclairé 
A tout le moins sinon, j’ai effectivement senti un vrai tournant à partir du chapitre 15, le rythme s’accélère dans l’enchainement des délires, j’étais mort de rire toutes les trois lignes et ce sans discontinuer jusqu’aux dernière lignes.
Le seul regret, il est que le rédac chef de Femina ait sans doute jamais pris la peine de te lire dans tes habits d’écrivain, jamais sinon il ne se serait permis de t’enjoindre de faire des chroniques pénibles et solennelles comme un jour de pénitence, ce que je vous ai signalé l’autre jour sur Twitter 