@gogoRat
Voici 1 ou 2 composants ludiques pouvant être pensés pour servir de pierres constitutives (entre autres) d’un dispositif plus élaboré de doléances :
échanges anonymes de proches en proches ; ou : timbrage basique de chaque échange ; ...
Juste pour suggérer le sentiment que quelque chose est tout à fait possible et réalisable ... pour peu que l’on s’y mette sérieusement un jour à plusieurs.
« La difficulté de réussir ne fait qu’ajouter à la nécessité d’entreprendre » disait le ’pré-révolutionnaire’ Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Bien sûr que la mise en place d’un tel dispositif n’est pas aussi simple que la pluie (qui nous tombe du ciel sans qu’on n’aie rien à faire ni à demander). Mais l’image qui me semble appropriée pour en deviner la faisabilité est celle de l’apprentissage de toute langue maternelle. Aussi ’difficile’ ou ’compliqué’ peut sembler l’apprentissage d’une langue comme le Basque, le Russe, l’Arabe, l’Hébreu, le Chinois, le Breton, ou l’Islandais ... force est de constater que tous les bambin finissent assez rapidement à assimiler plutôt bien que mal la pratique de leur langue maternelle !
Il suffit d’en faire un peu chaque jour, en se contentant de répondre activement au besoin ressenti, et en tenant compte de la nécessité d’échanger, collectivement.
( le cas du Volapük, par contre, montre qu’une langue inventée artificiellement par un seul individu (ou une poignée) a peu de chances de convaincre de façon pérenne )