@ORANGE SKUNK "t’as manifestement rien compris, reprends les études, fait toi une greffe de neurones«
Ah, tu me rassures, ton agressivité naturelle et tes vannes à 2 balles reviennent au galop !
»Transcendance pouvant qualifier l’espèce humaine et son attribut principal, la conscience«
La conscience n’est pas spécifique à l’espèce humaine, pourquoi y aurait-il une transcendance spécifique à l’humain ?
»Tu te dois de résoudre une énormissime contradiction. Tu viens ici me dire que l’humain est autre chose qu’une machine organique mue par des fonctions cognitives«
Non, non, machine organique me convient, en opposition avec l’IA qui restera une machine algorithmique.
C’est un peu l’approche du neurologue Antonio Damasio, voir son livre »Le sentiment même de soi, corps, émotions et conscience"
Le cerveau ne doit pas être conçu comme une gigantesque base de données dont la première fonction serait d’accumuler des faits objectifs sur l’environnement extérieur. Une de ses premières fonctions est de représenter non les états du monde environnant, mais les états internes de l’organisme auquel il appartient. Damasio nomme « proto-soi » l’ensemble de ces représentations de l’état du corps.
Posséder un proto-soi ne suffirait pas à être conscient. La
conscience suppose :
1 la rencontre de l’organisme avec un environnement
qui suscite une représentation du monde par le cerveau,
et 2 la mise en
relation de cette représentation avec celle de l’état de l’organisme
lui-même, c’est-à-dire celle du proto-soi.
Damasio défend donc une version de la conception méta-représentationnelle de la conscience : être conscient, c’est pour un système cognitif être capable de représenter, au second degré, certaines de ses propres représentations. Précisément, la conscience apparaîtrait dès qu’un organisme se trouve doté d’un soi-central, c’est-à-dire d’un système capable de représenter, sous la forme d’un sentiment, la relation entre l’état du proto-soi et les objets avec lesquels il entre en interaction. Le soi-central possède une fonction biologique : son existence permet à un organisme de garder la trace des modifications de ses états occasionnées par des rencontres avec les objets environnants. Le sentiment conscient émerge donc dans l’instant fugitif de l’interaction avec l’extérieur. Cette conscience noyau se développe en conscience autobiographique chez les organismes dotés de mémoire, ainsi que d’un système de représentation susceptible de coder l’information d’une façon qui ne soit pas sensible aux changements de contexte.
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