@flourens
le mot d’ordre des prud’homme semble bien n’être que de dissuader quiconque d’y recourir !
J’en veux pour preuve ne serait-ce que l’excessive durée et lenteur des procédures.
Tout un secteur professionnel dont le principal objectif est de dissuader ses potentiels clients de venir à lui : on ne peut pas suspecter là une logique libérale !
Donc, même sans réforme ubuesque, voilà bien un hic qui ne sera pas remis en cause.
Pourtant, ça devrait bien finir par se savoir ?
Lorsque la mascarade est éventée, ’chat échaudé craint l’eau froide’ dit le proverbe.
Sauf que la mécanique est bien huilée. Le discrédit infligé par cette expérience (quel que soit le verdict), couplé au déni de témoignage rencontré dans l’entourage bien-pensant qui a bien trop peur de devoir envisager que ses garde-fou officiels ne sont qu’un leurre ... font que tout signalement de bug à cet endroit restera aussi ridicule que pisser dans un violon.
Et ne parlons même pas des cas où une récidive de passage aux prud’hommes doit se produire !
( Nos légistes n’ont même pas pris la peine d’envisager la chose tant l’opprobre est censé avoir plié le ’cas’ )
Seuls celles et ceux qui risquent vraiment le chômage pourraient prendre conscience que tout contrat de travail (ie : de subordination) est absolument indissociable des prud’hommes - et, jusque dans le détail, de leur manière de fonctionner !
( Point su les i , au cas où : Pourquoi signer un contrat de travail s’il n’existait aucun risque d’être amené un jour à devoir s’en servir !)