Á l’auteur. Merci pour ce constat.
On
assiste à la volonté de mise à mort non seulement du français mais de la
plupart des langues du monde. Responsable : l’impérialisme étazunien qui
sévit à tous les niveaux : industriel, commercial, militaire mais aussi et
surtout culturel.
On nous abreuve jusqu’à l’écœurement de sous-merdes des
séries télévisées étazuniennes, qui – largement amorties au USA - arrivent par
plein cargo à prix cassés, ruinant ainsi la création française qui n’existerait
plus sans les subventions gouvernementales.
On nous emmerde jusqu’à en
dégueuler de ces collections de bruits abrutissantes que les programmateurs
déversent à pleins seaux dans nos pauvres oreilles et qu’ils ont le culot
d’appeler « musique ».
Même les chanteurs français beuglent
maintenant dans cette langue et…sont récompensés par des « victoires de la
musique ». Comme les programmateurs des radios, ils sont des collabos et méritent (pour le moins) le goudron et les plumes.
Les boutiques se croient obligées de se donner des noms
anglais. Il y a plus de mots anglais sur les murs qu’il y avait de mots
allemands pendant l’occupation !
Ras
les aliboffis de cette invasion ! Et merde à ce globish qui est à l’anglais de Shakespeare ce que le macdo est au tournedos Rossini !