Cette arnaque ne semble pas avoir indigné l’Unédic, puisque plus d’un mois après la découverte des abus, le directeur informatique a été mis à pied à titre conservatoire. Il a ensuite bénéficié d’une rupture conventionnelle, qui est, à l’instar du lanceur d’alerte (qui lui a été viré), une porte de sortie moins humiliante qu’un licenciement pour faute, et beaucoup plus lucrative, puisque Pierre Lachaize aurait obtenu 160 000 euros d’indemnités avec seulement 14 mois d’ancienneté. L’Unédic se refuse à dire s’il lui a été demandé de rembourser ses allocations trop perçues.
@l’auteur,
je pense que L’Unedic ne va pas l’inquiéter pour la simple raison que ce type a eu accès à d’important fichiers et que de ce fait ils sont obligés d’acheter son silence cela montre bien le pouvoir stratégique de certaines fonctions qui rendent certaines personnes intouchables !!!!
cette affaire n’est pas anodine et je dirai même très très grave car on sent bien que l’on rentre dans un rapport de forces totalement amoral !!!
mais c’est vrai que le résultat de ce genre d’histoire est totalement destructeur pour la Démocratie, j’ai l’impression que l’on est entré dans une spirale infernale, et que les pauvres vont encore payer les turpitudes des riches ..... de plus là visiblement on est dans un cas de justice à 2 vitesses
le salaud s’en tire avec les honneurs et le lanceur d’alerte se retrouve au pilori ...
la meilleure des choses est que les réseaux sociaux s’emparent de l’histoire et montre la tête et le nom de ce Pierre lachaize ainsi que l’endroit où il vit afin que la vie devienne difficile pour lui ... c’est la meilleure chose qu’on puisse lui souhaiter une belle carrière médiatique sous les huées et l’indignité qui doit en résulter !!!
quand au lanceur d’alerte une belle exposition médiatique et une demande de réintégration serait le service minimum !!!