@JC_Lavau. Suites aux colères grotesques d’une chercheuse israélienne qui ne trouve pas, l’évidence a surgi du plus énorme des postulats subreptices et clandestins enseignés partout en MQ : le postulat anti-relativiste.
Selon
eux, le temps demeure celui du dieu d’Isaac Newton, qui pouvait tout
voir simultanément et instantanément. Mathurin Popeye
diagnostiquerait que c’est de l’imaginature.
Selon eux, et hélas
aussi selon le formalisme qu’ils enseignent, le temps est un
paramètre universel et
ubiquiste ; Ils font
comme si le temps du laboratoire était universel.
Or déjà le premier photon
venu viole leur postulat anti-relativiste : il voyage à temps
propre nul ; la réaction
qui le crée
à l’émetteur et la
réaction d’annihilation à son
absorbeur sont pour lui simultanées,
et également causales.
Simultanées selon-le-photon mais pas d’une durée nulle,
sinon aucune expérience
d’interférence ne réussirait, car chaque photon serait de longueur
de cohérence nulle. Deux
molécules d’un même gaz, chacune ayant une vitesse différente dans
des directions différentes, n’ont pas le même écoulement du
temps ; cela tous les relativistes le savent, alors que les
enseignants de la MQ copenhaguiste en sont
inconscients et ignorants. Ceux
qui sont en charge d’un accélérateur de particules savent fort bien
que l’électron ou le proton accélérés
ne sont plus du tout dans le temps du laboratoire, mais le professeur
de MQ l’ignore, et écrit
le contraire au tableau noir.