@berry
Pas d’accord, Ferrat chante bien ; Les paroles sont parfois débiles, mais il faut voir qu’elles sont aussi le résultat d’une fidélité. Un peu comme Camus, « entre la vérité et ma mère... ». Il a été sauvé par des braves gens, qui se trouvaient être aussi, des militants communistes.
La reconnaissance,c’est respectable. Marcel Dassault aussi payait pour l’Huma. Parce que dans son camps de concentration, l’administration clandestine communiste du camp, avait décidé qu’il ferait partie de ceux qu’ils sauveraient en plus de leurs propres militants.
Ferrat a chanté ce qu’on lui a dit de chanter.
Après, en 1870, « il était » du coté de son père à Dniepropetrovsk et du côté de sa mère Auvergnat, c’est à dire vraisemblablement descendant d’électeur versaillais, ou de piou piou en charge de rétablir l’ordre à Paris...
Entre les idées de propagande de profs d’histoire communiste qui n’ont d’historien que le nom, et l’absence vraisemblable de mémoire familiale de ces événements, on ne voit pas trop ce qu’il pouvait faire d’autre que de répéter la vulgate.
Si cela se trouve, il croyait aussi que les paysans vendéens étaient d’ignoble capitalistes et ignorant que tous les terroristes de la révolution française étaient des snobinards s’affublant de particule pour faire plus chic ( à l’exception de Saint Just, vrai noble d’épée...)