Du temps de l’An 01, de Gébé, et des grandes heures Hara-Kiri - Charlie Hebdo, ce que prônait Reiser concernait aussi bien les échanges caloriques par panneaux solaires que la piste photovoltaïque.
Mais la vision que d’aucuns trouvaient utopiste de nos amis était « décentralisée », autonome, participant d’une certaine autarcie. À l’image des éoliennes fermières du far-West ou d’Australie...
Quant aux surfaces, si l’effort avait vraiment été entrepris, encouragé par les Pouvoirs Publics : les toitures et terrasses industrielles, commerciales et agricoles pouvaient (et pourraient) produire -de jour- une part importante des consommations électriques par exemple ménagères. Je salue les propriétaires de vastes parkings qui les équipent de panneaux (et contribuent au confort automobile...) : sur Bordeaux et sa région, nous avons vu les parkings du Parc des Expositions se recouvrir presque intégralement ; à Pessac les parkings du Centre Commercial associé à l’implantation de Géant-Casino ; en construction à Mios actuellement un hyper Leclerc mais aussi un parking photovoltaïque...