@Nicole CHEVERNEY
bon
vous n’avez répondu à rien, mais comme d’hab, vous radotez toujours les mêmes rengaines éculées
dites moi en quoi le fait de proposer à un « esclave en devenir » d’échanger ses immenses et inestimables qualités, sa probité exemplaire, son attachement à accomplir une tâche toujours pénible et ingrate avec pugnacité, contre une obole dérisoire justifie-t-il une obligation à son tortionnaire de le maintenir dans cet état de soumission, et d’exploitation ?
je trouve cela à la limite pervers non ?
d’ailleurs, notez que les salauds de patron n’engagent qu’à minima, preuve qu’il leur reste un soupçon d’humanité
mais vous avez raison, le fait d’endosser le costume de patron vous fait basculer dans l’ignominie
j’ai connu des dizaines d’esclaves qui ont basculé du côté obscur,et qui sont devenus des monstres.
pour résoudre le petit problème qui devient de plus en plus préoccupant du chômage,les limites des capacités de la fonction publique de masquer le désastre ayant été atteintes, dépassées, je ne vois qu’une solution :
obliger toutes les entreprises à engager dans des emplois bien payés, valorisant écodurablement compatibles, et de préférence ne générant aucun bénéfice,
avec quel argent ?
mais avec les miiiaaards de miiiards que l’état leur donne
il est chouette l’état
l’autre jour il m’adonné 50 euros, juste comme ça>.
j’ai eu une prune(52 ...)et j’ai reçu 50 euros, j’ai payé 130 au lieu de 180, chouette hein ?
encore une fois, si, pure hypothèse hein, les ouvriers( oups les esclaves, je suis incorrigible) sont la seule source de richesse d’une entreprise, je ne parviens pas à comprendre ce qui pousserait un patron(oups un salaud, je n’y arriverai jamais à ce truc)à se séparer aussi cavalièrement de la poule aux oeufs d’or
les collégiens manifestent dans la rue pour leurs droits...dont ils ne feront sans doute jamais usage, car avec des mentalités aussi passéistes, ils ne travailleront jamais