Merci @ l’auteur pour le partage

Votre article est effectivement aussi long que touffu, il va dans le bon sens mais, par ce fait, perd de sa pertinence.

Si je devais le résumer par une image la plus parlante possible, je dirais que vous dénoncez méticuleusement les symptômes d’un des maux rongeant la France, mais pas que, sans cerner et pronostiquer correctement le virus responsable.

« Frères » égyptiens, AKP turc, Hamas palestinien, Nahdda tunisien et autres organisations dites « islamistes modérés » ne sont que les avatars politiciens, singés sur les partis des pseudo démocraties occidentales, du même mal générant les salafistes, takfiristes, djihadistes et autres coupeurs de têtes d’El Qaîda et de ses rejetons, dont l’épouvantail Daesh/EI/ISIS, sorti du désert irakien comme le lapin du chapeau de l’illusionniste.

Ce virus mortel, que vous nommez dans votre article, mais sans plus, est le wahhabisme et il est à l’lslam ce que le $ionisme est au Judaïsme.

Malgré les apparences et les anathèmes qu’elles se lancent pour donner le change, ces deux idéologies ségrégationnistes et totalitaires partagent de nombreux points et intérêts communs, se couvrant et se renforçant mutuellement au point de sembler avoir scellé un pacte secret.

Observez bien qui en occident prend la défense de ces tartufes au nom de la « démocratie », des « droits de l’homme » et, au niveau national, de la « lutte contre l’islamophobie ».
Ce sont pratiquement les mêmes qui tirent la gueule suite à la reprise de Tadmor (Palmyre) par les forces armées syriennes et leurs alliés.
Écoutez bien le silence de l’agité de Tel Aviv, ayant considéré Assad plus dangereux que daesh et affirmé que la « Shoah » est une idée palestinienne.

Derrière les accusations à l’encontre de Bachar El Assad et cette obstination a vouloir, par tous moyens, se débarrasser de lui et au delà de cette histoire de gazoduc qatari, au fondement certain, il est aussi un non dit soigneusement tu : Le Président légitime de la Syrie est le dernier représentant vivant d’un mouvement révolutionnaire né avec la décolonisation, dit panarabisme et dont Nasser a été la plus célèbre des figures de proue.

Prônant une forme de laïcité dans un Islam majoritaire mais respectueux de toutes les croyances, pour une union du monde arabe sans considération d’appartenance religieuse ou autres, ce mouvement a été considéré comme un danger mortel par les wahhabites et les $ionistes de l’époque et encore l’occasion, pour leurs dignes héritiers, d’en finir avec cette dangereuse idée, ne voulant toujours pas mourir au cœur des Peuples arabes.

Pour précision, même si bon nombre de nos concitoyens l’ignorent et/ou s’en foutent royalement, Chokri Belaîd et Mohamed Brahmi, du « Front Populaire » Tunisien, s’affirmaient comme « panarabistes » . . .