@Aristide
"Il appartient donc à l’enseignant,maître de sa matière et conscient de
la nécessité de prendre en compte les préoccupations des élèves,
d’équilibrer les pratiques. «
Et ta soeur ?
L’enseignant »maître de sa matière« etc, etc ?
Vous vous fichez du monde !
La liberté pédagogique n’existe pas sauf dans les discours et en théorie .
Dans la pratique l’enseignant doit subir toutes les directives et les contraintes de la hiérarchie qui a choisi son camp .
La hiérarchie : je dis I.E.N,(inspecteurs de circonscription) , conseillers pédagos et certains directeurs très fayots et il n’en manque pas .
Si on refuse à l’enseignant certains outils de base comme des manuels, il est obligé de faire sans : écrire au tableau ,obliger les jeunes élèves à copier , faire des photocopies même si c’est interdit , utiliser des classeurs alors que les élèves ne sont pas assez matures pour les utiliser .
Si on leur impose le travail de groupe , par ateliers, d’évaluer en permanence : évaluation initiale , médiane , terminale à chaque séquence .....en quoi est il libre ?
Bref, vous vous fichez du monde .
Il me semble avoir déjà eu ce type d’échange avec vous .
Etes-vous véritablement enseignant , ou partie prenante dans la hiérarchie , ou encore un administratif qui se permet de juger ceux qui se tapent le boulot de terrain ?
Il me semble que vous êtes trop faux cul pour vous coltiner des classes de banlieue de trente élèves à double niveau imposé par idéologie pédagogiste .
En plus de »la pédagogie des petits plats« , pardon la pédagogie différenciée.
Laquelle aurait trouvé la martingale théorique pour »faire mieux avec moins de moyens" mais envoyer à la casse un max d’enseignants et d’élèves aussi !
Pff !
Je vous vois plutôt représentant syndical ou adjoint auprès d’une direction quelconque .
J’arrête là : je sens ma tension monter de 10 points .
Escrocs !