@Massada
C’est vrai chacun chez soi en paix. Les palestiniens aimeraient peut être rentrer chez eux.
C’est pas propre aux palestiniens, c’est assez humain vouloir rentrer chez soi.
Vous auriez dû faire comme aux Amériques, spoliation oui mais accompagnée par un génocide et des maladies. Un bon massacre, on en parlait un peu dans les journaux avec un peu de shoa et de peuple élu, l’affaire aurait duré 2-3 mois surtout avec une guerre avec ses millions de morts encore fraiche dans les esprits. Un coup de mufti de Jérusalem/Hitler et hop circulez il n’y a rien à voir, non vous avez merdé sur ce coup.
Vous avez quand même fait 50.000 victimes étalées dans le temps et c’est plus de 2-3 mois dans les médias.

L’Afrique du sud, ils sont aussi passé par la spoliation et l’apartheid, résultat ça n’a duré qu’un temps. Le génocide, il n’y a que ça qui fonctionne.

Vous avez quand même un avantage sur l’Afrique du sud, non pas du coté morale, c’est kif-kif, non votre affaire de lobbying c’est top quand même, il sont forts. Quand on voit nos hommes politiques aller au repas du CRIF le petit doigt sur la couture et le tube de vaseline dans la poche, chapeau.

Je ne suis ni phile ni phobe, c’est l’apartheid qui me dérange un peu, une israélienne et une juive d’Europe m’ayant laissé des souvenirs inoubliables, je serai un ingrat si je devais jeter la pierre, c’est bien la preuve que je ne suis pas phobe.

Je n’ai rien contre les personnes, c’est seulement la politique employée qui me gène.
Entre nous, j’adore l’humour juif, surtout celui d’avant le CRIF, avec la police de la pensée, ça perdu un peu de son charme.

Hava nagila,
hava nagila,
hava nagila,
venishmecha

J’ai réussi à faire danser un palestinien (un peu bourré) sur cet air là je connaissais les paroles.
Tout ça s’est fait sans fusil. Un peu de bière et les seins de la patronne du café du fort on suffit.
C’était début des années 80, il allait vers Tunis je l’avais pris en stop à la frontière allemande, n’étant pas sûr de la validité de ses papiers et de ce qu’il avait dans son sac, l’arrêt au bistrot à l’origine c’était pour voir l’ambiance à la douane voisine.
Il y a un ami qui est entré, lui aussi connaissait Beyrouth mais coté israélien, il a participé à cette fête fortuite.
La paix des braves. Les braves qui se sont battus connaissent la valeur de la paix, plus de 30 ans plus tard, les cons ne connaissent même pas l’étendu de leur connerie et ça fait des victimes.

Massada faites vous partie des braves ? Le clavier d’un ordinateur n’est pas un UZI ou un TAR21.