@Ar zen
Bon, je suis de bonne humeur je vous concède un dernier post, avant que vous n’insinuiez une déficience intellectuelle chez vos contradicteurs. Ce qui me dérange chez vous et l’UPR c’est votre volonté de casser l’idée européenne et que vous défendiez un nationalisme que je ne prône pas bast...
L’idée que vous ne voulez pas comprendre est de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain, pour ceux que l’idée européenne attire encore ben ils aimeraient une europe sociale. Rassurez vous pour nos intellect nous avons bien compris que ce n’est pas la volonté de la commission actuelle, si si je vous assure... Mais il n’empèche que pour beaucoup cette idée leur est toujours agréable et semble pousser les humains vers plus de fraternité et de partage premièrement et constituera toujours un rempart contre les égemonies d’ou quelles viennent, vaus aurez rémarqué que nous ne vivons pas dans un monde ou les intentions des dirigeants de certaines nations ne s’embarasse pas d’article 50 et de l’ensemble du contenu des traités.
Alors notre rêverie à la limite de la déficience cognitive à ses limites et si d’aventure il n’y avait pas moyen d’infléchir les totalitarismes à l’oeuvre dans la belle europe ben il faudra trancher et tintintin... on sortira l’article 50 et vous serez enfin heureux.
Mais non cet article ne sera pas sorti en premier lieu car l’idée européenne est, pour ceux qui le veulent encore, un combat à mener pour l’extirper des griffes de ceux qui en ont fait une dictature.
Alors nous rêvons d’un grand soir européen qui verrait les forces progressives et sociales (pour faire vite) s’unir pour reconstruire les bases de cette évolution (à mon gout) de l’histoire des peuples.
Non je n’apprécie pas votre militantisme nationaliste, je ne perçoit dans vos rangs aucunes formes d’avancées humaines et de fraternité populaire. Je ne perçois que la défense, timide, d’un pré carré matiné de bonnes intentions, mais vous savez comme moi de quoi est pavé l’enfer...
Sur ce je vous souhaite bon vent et allez vous battre là et contre qui c’est nécessaire.