Hum, effectivement, ces Panama Papers sentent le coup fourré. Mais fourré par qui ?
Premier suspect, bien-sûr, la CIA. La preuve, on accable Poutine, et pas l’ombre d’un américain d’importance. En plus, c’est organisé par Georges Soros, un signe qui ne trompe pas.
Cette abscence d’américains dans la liste est improbable, surtout
que les documents remontent 40 ans : qu’aucun sénateur, homme d’affaire,
milliardaire, banquier n’ait jamais eu une seule affaire là-bas, ce
n’est pas possible. Donc, les américains ont été filtrés de la liste. Mais filtrés par qui ? Par celui qui a fait fuiter les documents, ou par
l’association des journalistes qui a étudié l’ensemble ? Ce qui veut dire que les politiciens américains qui savent qu’ils devraient être sur cette liste vont chier dans leur froc devant la menace que leur nom finisse par apparaître.
Tandis que Poutine est, finalement, à peine effleuré, tout ce qui en sort est
que quelques-uns de ces proches ont trempé dans ce affaires, mais pas
Poutine directement. Du coup, Poutine est presque lavé par ces Panapa
Papers.
Et parmi les gens sur la liste, il y a tout un groupe de gens que la Russie pourrait vouloir affaiblis : Arabie Saudite, Qatar, Israel, Cameron, Ukraine...
Donc, un autre scénario devient possible : que cette fuite de documents soit l’oeuvre des services secrets Russes, et que l’absence d’américains ne soit qu’une forme de chantage envers le pouvoir US : « si vous continuez à nous faire ch****er, on dévoile les autres noms de cette liste. » Le fait que ça soit traité par une organisation impérialiste (Open Scociety de Soros) donnerait un cachet de crédibilité, qu’une simple fuite par le KGB n’aurait pas eu. Et dans ce scénario, ce coup serait un coup de maître du KGB, digne des plus grands James Bond.