@parlons-en
Oui, c’est ce que je veux dire. Alors évidemment, les variations existent, comme celle due aux générations : un immigré de la première génération se sentira étranger en terre française, ses enfants nés en France a priori un peu moins, ses petits-enfants a priori encore un peu moins, etc.
Je dis a priori, parce que c’est sans compter avec la nuisance des associations communautaires telles que SOS Racisme, conçu comme chacun sait pour sauver le racisme, et le sale boulot des éducateurs gauchistes depuis trente ans. Trente ans à faire détester le peuple français par les immigrés et à faire culpabiliser ce même peuple ingrat qui ne comprend pas la chance qu’il a de pouvoir enrichir sa pauvre culture millénaire grâce à ses nouveaux amis si sympathiques.
Demandez à un Chinois, pourtant communautariste par culture, né en France de parents chinois nés en France, au retour d’un voyage en Chine : il y a de très fortes chances qu’il vous dise qu’il se sent plus Français que Chinois.
Regardez maintenant quel drapeau les Français d’origine algérienne de troisième génération agitent lors des matches France-Algérie...
Mais le mensonge c’est surtout de faire croire que le métissage généralisé des peuples et de leurs cultures respectives serait l’ultime saut qualitatif de l’évolution de l’espèce. Quand on mélange toutes les couleurs chatoyantes de la palette, on obtient un gris terne.
Ne nous y trompons pas : ce métissage, première étape avant la gouvernance mondiale, est voulu par l’oligarchie mondialiste car il sert ses intérêts. Les individus indifférenciés, sans enracinements culturel et territorial profonds, sont éminemment moins dangereux pour elle.
Avec la complicité objectives des gentils droit-de-l’hommistes, bien sûr.