Ceci implique donc que chacun qui voudra être « président de la république » sera de ce fait même un président d’ ONG et jamais il ne pourra être légitime pour parler au nom et dans l’ intérêt du peuple français.
Dès lors, il est visible et apparent pour tous que la situation actuelle découle immanquablement et invariablement du fait que ces ONG (sociétés privées régies par le CCU-droit maritime) agissent pour leur compte et dans leur intérêt personnel et que cette situation est non seulement intolérable mais nuit gravement à chacun de tous ceux qui subissent cette situation engendrant les crises, la paupérisation, la violence, les guerres et que cela ne pourra aller qu’ en s’ aggravant .
Depuis le 18 juin 2015, la nation dispose de l’ outil juridique pour reprendre sa souveraineté et afficher cette situation aux yeux des autres nations.
Le site du Conseil National de Transition de France, seul organe juridique légitime en France.
http://www.conseilnational.fr/
Le programme :
Extrait
"
Les
révolutions ont trop souvent été suivies de désordres sociaux, de
périodes incertaines et de luttes pour le pouvoir. Il faut que chaque
Français sache exactement ce qui suivra après l’éviction des
politiciens.
Ce
programme est donc le « Grand Patron » de ce mouvement que tous les
acteurs s’engagent à suivre scrupuleusement. Elaboré par tous les
citoyens ayant libre accès à ce site, il reflète la volonté nationale.
Comme son nom l’indique, ce Conseil
National de Transition n’est pas un « gouvernement », mais une structure
d’attente ayant trois objectifs bien précis :
1) Eviter toute forme de chaos ou troubles civils après la révolte.
2) Restaurer rapidement l’économie et la sécurité du pays, ainsi que la vérité de l’information.
3) Permettre au peuple français de décider lui-même de son mode de gouvernance.
Il exercera donc jusqu’à ce qu’une
nouvelle constitution ratifiée par le peuple de France soit proclamée. A
ce moment son existence cessera pour faire place au mode de gouvernance
qui aura été décidé par l’ensemble des citoyens de ce pays."