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Commentaire de Spartacus

sur La nuit n'est pas frangine avec la loi


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Spartacus Lequidam Spartacus 20 avril 2016 14:16

Les nuits des sittings-branleurs, ces castes de gamins bobo gâtés et décérébrés tous issus des enfants de fonctionnaires et volées d’intermittents du spectacle qui vivent à charge de la société.


C’est pas chez ces comiques qu’un coco-bobo créera une start up....

Il préfèrent vivre en SDF, casser et détruire la boutique du commerçant qui devra payer la vitrine et mettre ses employés au chômage.
Et n’espérer pas un méa-culpa ou une acte de prise en compte de leur responsabilité, et payer pour les dégâts qu’ils occasionnent directement ou indirectement..

C’est pas ces comiques qui prendront en charge le coût des dégradations qu’ils occasionnent directement ou indirectement.....

Branleurs professionnels, ils savent exploiter leur insolvabilité pour la transformer en irresponsabilité. 

Comme des poules qui découvrent une paire de ciseaux, ces culturellement faignants endoctrinés qui vivent à charge du capitalisme, découvrent que les employeurs ne payent que pour un travail, et pas pour un avenir à la branlette devant des diplômes de merde universitaires d’études parking.

C’est pas chez ces branleurs qu’on trouvera un Nobel d’économie

Leur désir c’est vivre de la rente, de la subvention, mais surtout pas de leur travail. 
Vous comprenez, ayant pleinement conscience de leur inemployablilité, il se savent dans le secteur marchand confrontés à leur insuffisance de courage et de compétences, qu’il ont un avenir de Smicards.
L’austérité de l’état leur fait peur....sic....Comme ils veulent des rentes à ne rein faire, comme leur parents, ils veulent être payé par un statut ou une caste sociale. Fonctionnaires ou intermittents du spectacle, ou subventionnés d’aides sociales à charge de la société marchande, c’est le seul avenir qu’ils peuvent entrevoir.

Des incapables....Comme le branleur chef, à 27 ans en licence, ils veulent entrer sur le marché du travail à 37 et la retraite à 39.

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