@Odin
Pour l’Amérique latine il y a souvent la Société Inter américaine de Presse derrière tout les ’’coups d’état’’ Les révélations pour déstabiliser la présidente d’Argentine c’était parti d’eux via le Brésil.
Idem au Venezuela, Honduras,.... C’est parfois la même ’’source’’ qui est employée, qu’un transfuge vénézuélien payé par la CIA déblatère sur le Venezuela on peut parfois être trompé, vis à vis de l’Argentine, le bouchon est poussé un peu loin. Mais ça ne fait pas peur au SIP.
Je réside en Amérique latine, je m’aperçois que souvent sur investig’action, ils sont pointus.
Un exemple et ils citent des noms ce qui me permet de faire des croisements et des corrélations.
Un avantage en Amérique latine c’est qu’ils adorent facebook, même une personne discrète est entourée de personnes indiscrètes. Facebook en langue anglais US est une arme redoutable, on a les likes même sans l’aval de la personne. A titre d’exemple, le fils de l’ancien dictateur de chez moi est très discret mais si je veux le rencontrer c’est dans un restaurant en bord de mer à Miami le mardi soir.
Les liens des amoureux de l’ancienne dictature je suis tombé dessus en faisant une enquête sur les meneurs anti haïtiens en République Dominicaine pour une amie journaliste. Le tout sur freeplane c’est assez imbriqué.
On arrive à discerner les meneurs, les plus chaud et parfois ceux qui sont derrière et qui y ont à gagner, oui c’est souvent qu’une histoire de fric.
Nota : Le fils du dictateur n’est pas chaud ni meneur, il a déjà bien à faire avec l’argent du père à dépenser.