La France ne se situe plus au 4 ème rang mondial mais vers la 14 ème place.
« »« »« dont le taux de fécondité est un des plus élevés des pays industrialisés et qui va parvenir au renouvellement des générations sans apport d’immigration »« »« »
Entierement faux !
La France est le pays qui compte en Europe le plus grand nombre d’immigrés et leur fécondité est largement supèrieure aux français, personne n’ignore cela.
La France est un pays riche, indutrialisé, de beaux paysages et un patrimoine culturel très important, c’est une certitude.
Par contre le pouvoir d’achat des classes moyennes est en baisse constante depuis 30 ans, impôts, taxes minent l’écomomie des ménages et des PME PMI, le chômage est endémique avec en chiffre brut près de 6 millions de chômeurs, également 6 millions de fonctionnaires lorsque l’on ne compte pas les assimilés, auxquels ils faut ajouté 2 millions d’emplois rémunérés avec les fonds sociaux.
Depuis maintenant 5 ans la criminalité a dépassé celle des Etats Unis sauf pour les crimes de sangs, mais la tendance devrait s’inverser avec l’explosion du marché de la cocaïne dont le prix à bassé de 60%.
En terme de corruption la France est casi égalité avec l’Italie et le Portugal, mais il tenir compte que ne rentrent pas dans les stistiques tout les abus de subventions publique et le nombre d’emplois fictifs qui sont couvert légalement, je ne parle pas des nombreux cocktails, diners, receptions somptueuses, ditribution de primes juteuses aux participants, la nouvelle décentralisation ne fera qu’emplifier le fénomène de ce qui se fesait à Paris en l’étendant à toute la province ouvertement qualifée de fièfs de tel ou tel politiciens qui y règnent d’une forme qui n’a rien à envier à la monarchie.
Quant au résaux autoroutier il vient d’être bradé en grande partie aux espagnols à la hauteur de 40 milliard d’euros. Les espagnols dans le Sud-Ouest possèdent la majorité du résau de transport en commun, les sociétés français sont en voie de disparition ne pouvant s’aligner.
La SNCF perd des centaines de milliards d’euros soigneusement dissimulés dans les compte de l’état qui les éponges constament.
On recherche désépérement 940 milliards d’euros pour la retraite des fonctionnaires, tout simplement car cet argent n’a pas été prévu, provisionnés par les décomptes qui figurent pourtant sur les fiches de payes, mais qui ne sont que des sommes virtuelles.
Tout cela vient s’ajouter à une dette déjà de 1200 milliards d’euros qui font que lorsqu’il faudra ajouter les 940 milliards pour la retraite de fonctionnaire, les intérêts représenteront 130 % du PIB.