Bravo ! Vous avez raison et il faut toujours garder à l’esprit que ce sont des êtres humains qui font les lois et dirigent les différents organismes qu’ils ont mis en place. Comme le dit si bien quelqu’un que je connais bien « Ce que des hommes ont fait, d’autres hommes peuvent le défaire ».
Il faut bien rester conscients aussi que sans nous leur argent ne sert plus à rien.
J’ajoute que si cette poignée d’hommes, par rapport à la population mondiale, possède l’argent, nous nous avons le nombre.
Personnellement, j’ai depuis si longtemps ces réalités en tête que je n’ai pas pensé à le rappeler. J’ai eu tort car mon article peut être décourageant alors qu’au contraire je voulais préciser dans quelle direction devait aller notre combat sans oublier le sommet et, en citant les organismes, je me rends compte que les conventions et les médias leur donnent un poids apparent qui les montre plus difficiles à atteindre, alors que l’important, c’est de dire « Non » et refuser d’être les complices inconscients de ceux qui nous oppriment et nous exploitent. C’est aussi une question d’évolution de la sémantique qui est loin d’être innocente. Lorsque j’étais jeune, on parlait de l’entreprise et nous pensions à l’ensemble que formaient le patron et les salariés. Maintenant, le mot « entreprise » n’est représenté que par l’entrepreneur et le capital. Cela donne à ces derniers une importance considérable. Cela fait 50 ans que ce petit 1% se sert des médias pour malaxer nos cerveaux.
Quand je finis mon article par « Nous ne les laisserons pas faire » ou une phrase du genre, le « nous »
représente une force considérable. « Nous » ne sommes pas obligés d’employer la violence, mais la révolution peut se faire par la désobéissance, l’insoumission, le blocage.