@ l’auteur et merci pour le partage.
Les organismes ou organisations et la méthodologie mentionnés par Herzl pour parvenir à l’établissement d’un état national pour les juifs, sont toujours en place, plus puissants et influents que jamais.
En fait, l’état $ioniste n’est que la partie visible de l’iceberg, l’essentiel de la masse maintenant la stabilité de l’ensemble ne l’est pas, le plus grand nombre de $ionistes convaincus et déterminés ne vivent pas en Palestine, tout comme leurs élites et la banque est leur cœur d’activité :
« On nous pousse à nouveau vers les métiers de l’argent ; ils portent
maintenant le nom de Bourse, puisqu’on nous rejette de toutes les
autres branches d’activité. » (page 35)
Et c’est au sein des pays anglo-saxons qu’on trouve leur noyau dur :
« C’est parmi les valeureux Juifs anglais, auxquels j’ai présenté ce projet, que naîtra cette personne morale. » (page 88)
Signe des temps, alors que les religieux ont été ses premiers adversaires, le $ionisme laïc, voir même athée des origines, a cédé la place a un $ionisme religieux, dit aussi messianique ou néo$ionisme de plus en plus fanatisé, or le fascisme est engeance naturelle, la traduction politique de toute intolérance confessionnelle.
Le $ionisme fascisant ou fascisme $ionisant est une réalité dominant la société israélienne, mais pas que.
La boucle est bouclée, le projet $ioniste est donc bien une entreprise coloniale d’inspiration religieuse, j’allais dire le seul connu historiquement, mais a bien y réfléchir, les croisades catholiques en orient et leur royaume de Jérusalem . . .
L’histoire se répète parait il, la première fois comme une tragédie, la seconde comme une farce, souhaitons le, car jusqu’à présent ce ne sont pas des larmes de rire pour les palestiniens, mais il est vrai que la frontière entre les deux est si mince . . .