Il n’y a de Justice que si elle est vraiment équitable,
impartiale, etc., mais aussi, et avant tout, elle doit être juste ! Autrement,
ce ne sont que des décisions judiciaires prononcées par des États criminels qui
font croire qu’ils sont démocratiques.
La Justice
d’un État dit de droit, qui se respecte, doit respecter les Lois de son
pays, si elle ne le fait pas, cet État n’est rien d’autre qu’un État criminel
qui s’ignore. C’est mon opinion et je le prouve :
Le Tribunal correctionnel de Créteil qui m’a jugé et
condamné pour la détention de ma propriété, un droit fondamental garantie et protégé
par la Convention
européenne des Droits de l’Homme et par la Déclaration des droits
de l’homme placée en préambule de la Constitution française, qui plus est sur un Décret-loi
abrogé par Ordonnance
deux ans avant les faits, n’a pas prononcé une décision de Justice, mais bel et
bien une décision judiciaire criminelle qui satisfaisait l’autorité, mais pas la Justice.
Bien que je partage votre avis, globalement, je remarque que
dans votre billet, vous ne citez que des hommes et femmes d’État étranger,
aucun français ! Est-ce par chauvinisme ou par ce que, comme dit le proverbe ; « on voit la paille dans l’œil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien. » qu’il n’y a pas de Jacques Chirac, pas de Nicolas Sarkozy, pas de François
Hollande ?
Trois présidents de la République française constitutionnellement
garants des institutions, tous trois informés des crimes judiciaires dont j’ai
été victime, qu’ils ont laissé faire et perdurer. Or qui ne dit mot consent !