Oui, « y’a du boulot ! »
Et une réflexion nécessaire. Ces questions sont traitées aussi sur le site de SAT-Amikaro http://www.esperanto-sat.info , en particulier en section « Social », mais aussi dans d’autres articles.
Par ailleurs, deux congrès de travailleurs, qui se tiendront en espéranto en France, l’un à Bordeaux, l’autre à Antony, près de Paris, seront à leur façon des forums sociaux réunissant des participants de divers pays avec une langue commune qui n’est pas celle qui fait marcher la machine à écraser les citoyens. Pour en savoir plus (en français) :
http://www.esperanto-sat.info/article955.html
Des liens conduisent à des informations plus détaillées en espéranto.
Certains croient que c’est faire preuve de pragmatisme que de choisir et de recommander l’anglais. Aucun doute là-dessus... mais ça s’applique aux natifs anglophones ! Pour tous les autres, l’écrasante majorité, c’est précisément l’inverse : ils dépensent beaucoup, ils sacrifient beaucoup de leur temps et de leurs forces, ils en profitent moins que les natifs et ils s’imaginent avoir découvert le fil à couper le beurre !
Les natifs savent d’emblée que les non natifs feront la totalité de l’effort. Voilà le côté pratique et utile, le côté pragmatique ! Pourquoi donc se gêner ? Voir à ce sujet : « The English Advantage » sur http://www.esperanto-sat.info/article600.html (ou http://www.esperanto-sat.info/article192.html en français)