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Commentaire de Vipère

sur Les femmes africaines, entre émancipation et archaïsme


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Vipère Vipère 21 mai 2016 08:13

Le migrant clandestin à la rue, débarqué d’Afrique fait le 115, et il est logé dans un hôtel dit social, à Rambouillet et autour de Paris.

Le français à la rue, fait le 115 et il échoue dans un foyer d’urgence, en dortoir, crasseux, viré à 6 heures du matin, tandis que le migrant est logé durant toute la journée à l’hôtel payés par les impôts de l’ensemble des français. Ces clandestins attendent d’être légalisés pour travailler pour les grands groupes pour des clopinettes.

Les français contribuent ainsi à l’issue de leur plein gré, à leur remplacement au travail par la compétition avec des clandestins venus d’Afrique, dociles, se contentant d’un salaire de misère.

L’oligarchie politique française n’aime pas ses français, qu’elle veut d’ailleurs réduire a la misère au moyen du 49.3, c’est une certitude, la question qui vaille est :

Réussira t’ elle à mettre sur le carreau les salariés français pour parvenir au plan final ?


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