Commentaire de Christian Labrune
sur Edmund Husserl, La crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale
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Robin Guilloux,
Il n’y a probablement pas de lecture plus essentielle, pour comprendre le monde où nous sommes, que celle de Husserl, et toutes les tentatives qui auront été faites pour essayer de dépasser sa très rigoureuse phénoménologie en auront été souvent assez incapables. Pour commencer, le grotesque Heidegger qui tombe dans l’anthropologie pour finir fasciné par la « grandeur historiale » du nazisme, mais aussi bien tout un courant chrétien qui n’y aura cru trouver, bien à tort, que ce qu’il cherche partout : une spiritualité creuse aux antipodes de tout effort intellectuel vers le transcendental.
Merci pour cet article, même si les réactions de quelques rares lecteurs laissent pantois, mais il fallait s’y attendre : margaritas ante porcos !
Derniers commentaires
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07/06 17:48 - Luc-Laurent Salvador
Je ne suis pas phénoménologue pour deux sous, mais je trouve l’article très intéressant (...)
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26/05 01:56 - Christian Labrune
@Robin Guilloux Sans Lévinas qui l’a fait connaître assez vite au public français, (...)
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25/05 08:07 - Robin Guilloux
@Christian Labrune On en revient toujours à Pascal avec son « Dieu des philosophes » « qui ne (...)
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25/05 01:16 - Christian Labrune
@Robin Guilloux Je ne sais que trop qu’il y a des phénoménologues chrétiens, mais ils (...)
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21/05 20:54 - Robin Guilloux
@Christian Labrune Je suis d’accord, mais il ne faut pas oublier qu’il y a des (...)
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21/05 19:01 - Senatus populusque (Courouve)
« Les Grecs inventent ainsi la démonstration mathématique (Euclide, Pythagore) » Les Grecs (...)
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