Bonsoir Alexis,
Je connais le blog de Popol Jorion depuis sa naissance.
J’ai commenté ses billets pendant des mois. Nous avions même échangé quelques mails.
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il aime s’entendre parler, mais n’aime pas écrire autre part que dans des journeaux..
Etre invité par tous les médias en France et en Belgique. Et oui, même s’il habite en France, il est belge.
Puis, il y a eu un retour de manivelle.
J’ai été viré comme beaucoup d’autres qui se retrouvèrent sur un autre blog appelé postjorion.
IL faut savoir que ce Monsieur n’aime pas la controverse et les avis contraires.
Depuis, je regarde ses vidéos du vendredi presque toutes les semaines, sans plus réagir.
En février, je l’ai rencontré physiquement avec d’autres vrais économistes, (lui est anthropologue de formation scolaire et économiste de réalisation pratique en Californie) à la suite d’un colloque organisé par le PS.
Le titre du colloque était attirant « Multiplier les emplois de qualité au 21ème siècle. C’est possible ».
Mon billet qui a suivi, était explicite sur ce que j’en pensais.
Pendant l’entracte, je lui ai transmis un article que j’avais écrit sur le sujet des années avant cela.
Il l’a pris dédaigneux et l’a introduit dans sa poche.
Il apparaît dans d’autres de mes articles puisqu’il aime se retrouver sur la vague du mécontentement..
Il avait l’année dernière été viré de la VUB (Vlaamse Universiteit van Brussel) pour des raisons fallacieuses. Je l’avais soutenu. Erreur de ma part.
Dernièrement, j’écrivais :
Dans Le Vif, un article de Paul Jorion avait pour titre « Le genre humain est au bord de l’extinction ».
Il concluait par « Les survivalistes qui créent égoïstement leur petit coin de paradis, sont dans le déni. La solution ne pourra être qu collective et économique ».
C’est par là, que je prends mes distances avec lui pour arriver à des solutions communes.
Pour que cela marche, il faut commencer par des survivalistes qui montrent l’exemple à ceux qui sont aussi dans le déni de croire que parler d’extinction n’est pas la solution.
Il n’y a rien d’égoïste dans l’attitude d’un survivaliste.
A mon avis, il faudrait peut-être qu’il médite plus et écrive moins de livres.