@Shawford
Le FN peut bien être un ramassis de crasses (ce qu’il n’est pas, le clergé du haut est d’ED, le bas clergé prébendier est de gôôôche, c’est pourquoi le décoré de la Francisque a supprimé le Doctorat d’Etat) ça ne changerait rien (à part Goebbels, Speer, Rosenberg, les nazis étaient plutôt crasses, ils ont qu’en même réussi à faire de la politique plutôt impressionnante ..... car la pensée du peuple était adéquate) Ce qui compte c’est l’Idée. (et non une branlette constitutionnelle à la lotocrasse, le superstructurel est expression de l’infrastructure) même si l’oligarchie utilise sa puissance pour le statu-quo (en quoi l’arrivée du FN lui coupe un relai même s’il est l’infiltrait elle ne peut formater un parti entier), et Clovis s’est converti. Mais bon tout ça c’est de la SF.
« Ce qu’il faut favoriser, c’est plutôt une révolution silencieuse, procédant en profondeur, afin que soient créées d’abord à l’intérieur et dans l’individu, les prémisses de l’ordre qui devra ensuite s’affirmer aussi à l’extérieur, supplantant en un éclair, au bon moment, les formes et les forces d’un monde de subversion. [...] On doit en arriver au point que le type humain dont nous parlons, et qui doit être la substance cellulaire de notre front, soit bien reconnaissable, impossible à confondre, de sorte qu’on puisse dire : « En voilà un qui agit comme un homme du mouvement » [...] C’est dans l’Idée qu’il sied de reconnaître notre véritable patrie. Non le fait d’être d’une même terre ou d’une même langue, mais le fait d’être de la même idée : voici ce qui compte aujourd’hui. Là est la base, là se trouve le point de départ [...] Ne pas avoir l’entendement de ce réalisme de l’Idée signifie s’en tenir à un plan, somme toute, infra-politique : celui du naturalisme et du sentimentalisme, pour ne pas dire de la rhétorique patriotarde. »
’Orientations’ Julius Evola