@shawford
« Qu’est ce que famille ? »
Se demanda le Cyborg C-3567342 en refermant le vieux grimoire intitulé « Le Livre des Rêves ».
Bobo Benêtus Pédérastus loua l’utérus de Pouffa Al Colonia, qui avait besoin d’argent pour se faire dégraisser dans une clinique esthétique de son Bled en Tunisie, et ainsi naquit le dernier homme, Narcisse.
Le dernier homme puceron vit très longtemps, dans les solutions apaisante de la marchandise. Son plaisir, se branler, est sa seule activité vitale, aussi a-t-il détruit le culte archaïque de la Cité, de l’âme, de la famille, de la postérité en général, de toute œuvre immortelle au delà de lui-même. Son apparence se reflète seulement dans l’InterBEnet.
Narcisse est craintif, pour lui-même. Alors l’élixir de jouvence fût une pour lui l’ultime auto-préservation. Aussi sacrifia-t-il pour l’élixir, son fils, au Titan Prométhée. Narcisse sauva le peuple de lui même, en se crucifiant dans un Cyborg. Et mourut l’espèce des hommes.
Étrangement le fantastique Cyborg est né du purin fertile des bobo, chiures finales de l’Histoire des homo. L’Esprit du Monde est rieur. Et est fou qui veut remonter son fleuve disait le Bantou.
« En dissolvant les nationalités, l’économie libérale fit de son mieux pour généraliser l’hostilité, pour convertir l’humanité en une horde de bêtes féroces – les concurrents sont-ils autre chose ? – qui se dévorent mutuellement parce que les intérêts de chacun sont égaux à ceux de tous les autres. Après ce travail préliminaire, il ne restait plus à l’économie libérale qu’un pas à faire pour atteindre son but : il lui fallait encore dissoudre la famille. »
’Esquisse d’une critique de l’économie politique’ Engels