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Commentaire de Fifi Brind_acier

sur Le classement 2016 publié par l'IMD sur la compétitivité mondiale prouve la fausseté de la propagande européiste


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Captain Marlo Fifi Brind_acier 4 juin 2016 06:59

@gerard5567
Sous forme de tableau et avec 5 critères, ce n’est pas mieux .


3 économistes du FMI remettent en question les dogmes ressassés par les « experts » et la classe politique française et européenne :

"Les économistes déroulent en effet une série d’arguments solidement étayés, qui sont autant de critiques en règle des politiques de dérégulation menées partout dans le monde depuis quarante ans, sous l’égide…du FMI ! Mieux vaut tard que jamais.

L’article égratigne en particulier deux piliers de la doctrine économique dominante : la libre circulation des capitaux, et la priorité donnée à la réduction des déficits.(...)

Autre dogme érodé par les auteurs de l’article : celui de la priorité absolue donnée à la réduction des déficits.

L’idée brillante des néolibéraux était qu’en réduisant les déficits, les pays encourageaient le retour de la confiance - celle des consommateurs, des entrepreneurs, aussi bien que des investisseurs étrangers - et donc de la croissance.

Chiffres à l’appui, les auteurs de l’étude démontrent qu’il n’en est rien : au contraire, le plus souvent, l’austérité - puisqu’il faut bien appeler les choses par leur nom - a enclenché un cercle vicieux de baisse de la demande, défiance des investisseurs, récession, et finalement augmentation de la charge de la dette… et donc de nécessité encore plus grande de réduire les déficits.

La Grèce offre une illustration aussi caricaturale que dramatique des dégâts que peuvent occasionner le dogmatisme et l’idéologie, surtout lorsqu’ils sont parés des atours flatteurs de la science.(...) 


C’est exactement ce qu’explique l’ UPR : 

"On l’aura compris, aucune de ces mesures visant prétendument à la réduction du déficit budgétaire et à la relance économique n’aura l’effet escompté.

Non seulement parce que vouloir baisser les dépenses publiques est une absurdité en période de stagnation économique, mais parce que ces mesures ne peuvent régler en rien le problème n°1 de compétitivité de la France : l’euro "


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