@Iren-Nao
Mon ami Yéti05 a bien résumé la situation.
Les écologistes rêvent d’espaces vierges dans notre petit pays à la densité humaine de 120h/km². C’est pour cela qu’ils préconisent « dans les zones ou évolueront les grands prédateurs il faut de fortes restrictions au pastoralisme »....« dans les zones réservées a l’élevage industriel, il faudra faire les prélèvements nécessaires pour qu’il ne puisse pas s’installer »
Et biens sur ces mêmes écologistes se ruent sur Ouragan en le traitant de paria de la société, alors que ce sont eux qui le disent « il faudra faire les prélèvements nécessaires pour qu’il ne puisse pas s’installer »
Seul bémol, nous n’en voulons pas non plus dans les zones d’élevage extensifs. Or en France, la distance entre deux élevages excède rarement 2 km à vol d’oiseau.
Et pour bien comprendre la perversité des défenseurs du loup, voici une association de défense du prédateur qui écrit «
»Écologiquement, la montagne n’a pas besoin de moutons Les éleveurs ont besoin d’alpages, mais l’inverse n’est pas vrai. L’idée que le bétail serait utile pour « entretenir » la montagne renvoie à une image symbolique de celle-ci, mais ne correspond à aucune réalité biologique ou écologique.«
ET QUI quand ça l’arrange : » « Le pastoralisme est aujourd’hui considéré comme une solution durable a l’entretien des milieux en faveur de la biodiversité. Il est également un outil de préservation des milieux contre les incendies. Par ses multiples vocations, le pastoralisme est donc présent dans de nombreux documents de planification territoriale comme les documents d’objectif des sites Natura 2000 mais également les plans départementaux de défense de la forêts contre les incendies. »
C’est ce que je dénonce et uniquement cela sans jamais parler du loup en tant que tel ! Mais cela les rend fou, ils ne supportent aucunes de leurs contradictions !.