@Spartacus
« Au nom de quoi seule la maltraitance devrait être la seule raison de placement ? Ne pas pouvoir nourrir, instruire ou loger ses enfants n’est elle pas une raison ?
Vouloir a tout pris que la mère élève ses enfants est elle vraiment la solution ou un parti pris de bonne conscience ? Si elle n’est pas en mesure de garantir la santé par absence de soins médicaux, ou assumer des conditions d’éducation ou de son développement intellectuel ? »
Veiller au bien-être de tous les citoyens s’oppose naturellement à tous les préceptes de la sainte compétitivité. Plutôt donc que continuer à encourager fainéantise et oisiveté à coups de vaines aides sociales, je suggère de plutôt ouvrir des « camps » pour l’accueil des enfants « pauvres ». Pourvu de s’en remettre à la libre concurrence pour leur gestion et d’y rogner sur la malbouffe, ils devraient même être rentables. Et pour encore en optimiser le rendement, il suffira, comme pour les pensionnés allemands, de les délocaliser ! C’est bien connu, les mômes s’adaptent facilement et puis, ne dit-on pas que les voyages forment la jeunesse !
A terme, il sera tout de même moins onéreux de stériliser directement cette majorité de la population €uropéenne destinée grâce aux bon soins de nos gouvernants à la précarité : l’€urope pourrait commencer par les Grecs.
Et si les (futures) pauvres souhaitent y échapper, nul doute qu’un authentique progressisme « $ociali$te » à la sauce 2.0 prévoie une exception destinée à toute volontaire s’engageant à la GPA : il serait en effet hors de question que les couples LGBT fortunés se sentent discriminés, mais nul doute que la Cour de Justice €uropéenne y veille !