Bonjour Zolko, j’ai voté pour votre article en modération parce qu’il m’est apparu utile et aussi parce qu’il comporte un point commun avec la théorie que j’ai développée (« le bonheur dimensionniste » tome 2).
Pour faire court, je pense que les stéréotype de quêteurs de bonheur que j’ai énoncés dans mon essai philosophique (le chasseur, le pêcheur, le serviteur, le bâtisseur, etc.) contribuent à forger ces types de personnalité. Autrement dit c’est la personne qui, en cherchant le bonheur selon telle ou telle voie, qui formera sa personnalité. L’épicurien correspond, dans mes catégories, au « pêcheur », le loyal au « serviteur », le meneur au « bâtisseur », et ainsi de suite. Mais il est possible que cela joue dans les deux sens et que la personnalité influe sur le mode de quête du bonheur.
Le serviteur fait don de sa personne et devient lui-même une ressource, alors que le chasseur et le pêcheur n’en sont, en principe pas, puisque ce sont eux qui puisent dans les ressources.
Les passeurs et les semeurs sont des « personne ressource » mais qui génèrent eux-mêmes des ressources - matérielles ou non matérielles – et, en quelque sorte,on peut dire qu’ils transmettent après avoir eux-mêmes reçu.