Patrick Drahi : le mariage de la haute finance et des réseaux sionistes
Comme une petite nouvelle sans conséquence, on apprenait le 1er février la nomination de Bernard Mourad à la présidence de MagNewsco, le groupe de média formé par Patrick Drahi, racheteur de SFR, du quotidien « Libération » et de l’hebdomadaire « l’Express », pour ne parler que des titres les plus importants.
Bernard Mourad est né en 1975 au Liban, d’un père libanais et d’une mère française. Il est depuis 15 ans chez Morgan Stanley, avec Goldman Sachs, l’une des principales institutions financières prédatrices à Wall Street. Pour le compte de Drahi, il a piloté l’achat de SFR, de Libération et de l’Express.
On sait par ailleurs que Drahi n’a pas mis un sou de sa poche pour acheter les entreprises précitées. Les banques lui prêtent l’argent nécessaire. Si Drahi n’était qu’un homme d’affaires ordinaire, nous penserions qu’il n’est motivé que par l’argent. Mais il a aussi un idéal. Comme nous l’avons déjà dit, fervent sioniste, il a créé i24 news, une chaîne de télévision israélienne consacrée à la propagande de l’État hébreu. i24 news fait du reste partie du nouveau groupe, MagNewsco.
Il s’agit donc bien d’une rencontre entre la finance internationale, inspirée par le mondialisme, et le sionisme. Dans ce mariage, on est à première vue surpris de voir Mourad, un « franco-libanais », à un poste de commande. On comprend mieux quand on apprend sa mère juive du Maroc, en même que de nationalité française.
Preuve de la mise au pas...
À la rédaction de l’Express, on n’a pas attendu avant de s’aligner sur la sensibilité du nouveau maître des lieux, le « franco » Israélien Patrick Drahi. Début février, on publiait un hors série sous le titre « Juifs de France ».
En attendant, c’est à un double asservissement de nos média que nous assistons sous les férules d’Israël et du mondialisme financier de Wall Street. C’est contre cette opération que l’État devrait intervenir, pour préserver ce qui reste de la liberté de la presse, et non pas en défendant le pitoyable Charlie Hebdo.