@oscar fortin
Le peuple vénézuélien par ses nombreuses manifestations contre le gouvernement Maduro ,les étalages vides, le manque de médicaments , l’inflation galopante, les coupures d’électricité etc ne sont pas le fait des Etats-Unis mais de la mauvaise gouvernance et de la corruption du socialisme du XXIe siècle selon Chavez.
Quant a Bachar Al-Assad et ses élections , elles sont aussi valables que celles de Saddam Hussein un autre bassiste qui avait été élu avec 99% de sunnites alors qu’ils sont minoritaires dans le pays.
Bachar Al-Assad , lui aussi bassiste a été élu avec une majorité d’alaoutes une banche du chiisme, alors que le peuple syrien est en majorité sunnite. Si le peuple était derrière lui , il n’aurait pas besoin de la Russie , de l’Iran et du Hezbollah pour se maintenir au pouvoir. Par ailleurs , je vous fais remarquer que ce sont les pays sunnites , comme l’Arabie saoudite , les pays du Golfe et la Turquie qui s’opposent le plus au dictateur syrien et qui financent ses ennemis .
Comment un dirigeant dans une guerre civile , peut-être élu démocratiquement ?
Comment peut-on organiser des élections dans un pays de 23 millions d’habitants dont 8 millions ont fui le pays ?
Comment pouvez-vous parler de démocratie , lorsque un régime est arrivé au pouvoir en 1970 à la suite d’un coup d’Etat militaire et dont le responsable actuel est installé par son père a la suite de la mort de son frère dans un accident qui était le successeur désigné par le clan Assad en toute « Démocratie ».
Comment peut-on parler d’élections démocratiques lorsque des villes comme Alep, Hassaké, Raqqah Hama, Homs Derra, Suyada etc sont en révoltes et subissent des bombardements de leur propre gouvernement d’un côté et de l’autre les répressions sanguinaires des djihadistes ?
Vos arguments sont fallacieux.
Les réfugiés hommes, femmes et enfants de Syrie , vous apportent un cinglant démenti par les récits. de le
Leurs souffrances et les accusations portées contre le régime. comme contre les criminels djihadistes.
PS : Le récit du petit Hamza de 13 ans a été rapporté par le journaliste libanais du quotidien L’orient-Le-jour, Abou Dib , le 2 juin 2011 ( les djihadistes ne faisaient pas encore partie du paysage) et relaté également par le dirigeant druze libanais Walid Joumblatt lors d’un entretien avec le dictateur syrien.