@Croa
Pour parvenir à une
société « acceptable » (pour ne pas la définir davantage),
il faut abattre deux « murs de prison », l’UE et les
gouvernements nationaux conservateurs (De Hollande à Sarkozy pour
nous).
Les Britanniques ont
percé le mur de l’UE.
Maintenant, il leur
faut créer un mouvement de gauche, une sorte de Podemos, ou de
Syriza (qui sans le pistolet sur la tête de l’UE aurait réellement
changé la donne en Grèce) pour abattre le second mur, l’alliance de
la droite avec la fausse gauche.
L’avenir nous
montrera s’ils en sont capables. Mais leur passé ne plaide pas pour
l’optimisme.
En effet, ils ont
longtemps combattu soit des peuples progressistes, Indépendantistes
américains de Washington, Révolutionnaires républicains de l’an
II, soient des peuples qu’ils ont colonisés et méprisés longtemps
et tout d’abord des Africains et des Indiens. Et ils vivent dans la
nostalgie de ce passé-là.
D’autre part, les
revenus artificiels de la City, diffusent quand même peu ou prou
dans la ville énorme de Londres et donne à ses habitants le
sentiment qu’il ne faut pas « renverser la table ».
Mais après des
années de dictature catholico-franquiste et la disparition du pays,
soit par l’exil, soit par la répression, des progressistes et des
révolutionnaires, on constate cependant que c’est en Espagne que la
gauche alternative est la plus proche du pouvoir et qu’il sera
impossible à l’UE, à la différence de Syriza, de la neutraliser.
Alors, pourquoi pas
un mouvement populaire en GB ?