@Laurent Simon
« Le meurtre de Jo Cox n’a pas suffi aux britanniques à mettre
beaucoup plus de sérénité dans le climat avant référendum, alors que le
peuple britannique est habituellement beaucoup plus flegmatique, et avec
de l’humour aussi. De l’avis des observateurs présents au RU, JAMAIS il n’y a eu une telle violence verbale, une telle outrance dans les débats, et cela ne me semble pas un bon signe. »
Vous ne clarifiez pas votre pensée, vous dites autre chose. Dans votre introduction vous n’avez mis en cause que les partisans du Brexit ( « L’assassinat de la députée Jo Cox, sous les cris de « Britain first ! » n’aura donc pas suffi à ouvrir les yeux de beaucoup d’électeurs
britanniques, sur les aberrations des arguments utilisés par le camp du
Brexit. »).
Par ailleurs, vous parlez de « violence verbale », d’« outrance dans les débats », qui ne vous auraient pas « semblé un bon signe ». Appréciations parfaitement subjectives, et parfaitement hors de propos : un tel débat, concernant un choix historique pour la nation britannique, aurait dû selon vous se tenir dans la bonne ambiance et avec le flegme et l’humour britannique (avec vous comme arbitre des politesses ?).
Quant à la chute de la livre, s’il n’est « pas besoin d’être financier, ou de jouer en bourse, pour constater les dégâts que cela peut faire », attendez au moins que les dits dégâts aient eu lieu avant d’en parler.